paroles de chanson Journal de bars - Koriass feat. Paranoize
Pour
moi
c′est
l'night
life,
un
peu
plus
j′dors
dans
une
tombe
Le
soleil
se
lève,
pis
j'ferme
les
stores
quand
y
plombe
J'me
réveille
juste
quand
j′vois
la
lumière
de
la
lune
Qui
m′éclaire,
elle
m'aide
à
donner
des
ailes
à
ma
plume
Moi,
j′suis
bien
quand
y'a
pas
d′lumière,
qu'le
monde
dort
Un
p′tit
buzz
de
l'alcool,
d'la
bière
que
j′consomme
Une
autre
clope,
j′griffonne
un
texte,
c'est
mon
fun
Le
bon
son,
s′comme
d'l′oxygène
en
bonbonne
Quand
j'sors,
s′pour
m'assoir
dans
un
bar
ou
un
club
J'prend
le
téléphone,
pis
j′call
tous
mes
chums
Jusqu′au
last
call
pour
nous,
c'est
le
fort
et
la
bud
Quand
j′pars,
y'a
un
gars
qui
est
en
train
de
passer
la
moppe
La
vie
d′soir,
c'est
une
drogue,
on
veut
pas
qu′le
jour
se
lève
On
veut
oublier
le
passé
qui
colle
à
nos
semelles
11
heures
moins
quart,
j'pars
au
bar,
parce
que
j'veux
d′la
bière
J′vais
aller
cause
d'ma
vie,
au
barman,
qui
m′connaît
mieux
qu'ma
mère
I
live
by
the
night
and
escape
the
next
day
Creepin′
to
the
bar,
get
out
of
my
way
I
read
the
newspaper
and
this
is
what
it
says
Just
another
night
at
the
bar
Le
ciel
a
mis
son
voile
noir,
le
jour
est
mort
Pour
faire
revivre
les
remords
des
hommes
qui
courent
les
bars
Seul
assis
à
l'arrière
et
mon
verre
est
vide
J′ai
bu
c'qu'y
me
restait
d′estime
dans
ma
dernière
Heineken
J′sors
dehors,
j'regarde
le
ciel
et
les
étoiles
dansent
J′ai
l'impression
qu′chacune,
d'entre
elles,sait
à
quoi
j′pense
Pourquoi
j'mange
peu,
pourquoi
qu'à
chaque
soir,
j′me
sens
mieux
Pourquoi
d′la
vie
des
autres
j'suis
envieux
J′me
sens
vieux,
anxieux,
la
bouche
sèche,
regard
morbide
Ma
tête
est
pleine
et
mon
coeur
est
encore
vide
Y'est
presque
deux
heures,
j′vois
un
ivrogne
qui
gueule
Ça
m'donne
peur
d′avoir
l'air
de
ça
à
force
de
sortir
seul
J'ai
toujours
été
comme
ça,
un
peu
indépendant
L′âme
et
les
rêves
d′un
enfant,
j'veux
toujours
faire
des
changements
Certains
pensent
que
j′t'idéaliste,
pis
que
j′vois
gros
Moi
j'pense
que
j′suis
irréaliste,
pis
que
j'bois
trop
J'rêve
de
victoire,
mais
rien
de
neuf
Toujours
la
même
histoire,
j′vis
de
soir
et
j′ai
jamais
fini
de
boire
Un
autre
verre
de
fort,
encore
un
autre
pas
vers
le
bord
J'vois
la
lumière
qui
sort,
y
va
bientôt
faire
clair
dehors
6h
du
mat′,
j'rentre
avant
qu′le
jour
ressuscite
Pour
m'coucher,
en
m′disant
qu'j'toujours
à
court
de
réussite
J′pas
une
victime,
j′te
dirais
que
des
malheurs
j'en
ai
pas
Mais
j′cours
les
bars,
depuis
qu'j′suis
seul
à
mettre
d'la
chaleur
dans
mes
draps
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