paroles de chanson Mourir - Louis Chédid
Ce
baobab
colossal
Ces
rochers,
cette
montagne,
Ces
ruisseaux,
ces
rivières,
Continents,
Univers.
Paraît
que
quand
je
se
rai
plus
là.
La
terre
continuera
à
tourner,
A
tourner,
à
tourner
sans
moi
Mortel
comme
ce
fromage,
Cette
tranche
de
mortadelle.
Une
date
de
fraîcheur
sur
une
boîte,
3 petits
tours
et
patatrac!
Mortel!
Requiem,
De
Profundis,
Au
bord
du
précipice,
Nez
à
nez,
face
à
face,
Avec
Madame
Grimace.
Je
négocierai
mon
transfert.
Aujourd'hui,
rien
à
faire.
Dans
quelques
jours,
peut-être,
Mais
je
ne
peux
rien
promette,
Repassez
donc
me
voir
un
30
Février.
Ou
la
semaine
des
4 jeudis.
Si
ça
marche,
tant
mieux,
Sinon,
tant
pis!
Mourir,
vous
voulez
rire?
Moi
feu
de
paille,
vous
plaisantez.
Mourir,
pousser
mon
dernier
soupir,
Moi,
rendre
l'âme.
Ah,
ça
jamais!
Moi
mourir,
plutôt
crever!
L'existence
à
perpétuité,
Vieux
papy
tout
froissé,
Quasiment
momifié,
Est-ce
que
ça
me
plairait?
Feuilles
de
laitue
sur
une
grillade,
Un
verre
de
citronnade,
Un
coup
d'oeil
aux
naïades,
Mais
défense
d'y
toucher!
A
bien
y
réfléchir,
Je
préfère
laisser
tomber.
Il
faut
bien
que
vieillesse
se
passe,
Puisqu'il
est
dit
que
le
show
must
Go
on!
Pour
rire,
c'était
pour
rire,
Histoire
de
dédramatiser.
Mourir,
je
veux
bien
mourir,
Mais
si
l'on
ne
peut
plus
déconner.
La
vie
serait
d'un
triste
à
pleurer,
Mortel,
à
crever!
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