paroles de chanson Les Dunes Blanches - Marc Lavoine
(Bertrand
Burgalat/Marc
Lavoine)
Sur
les
dunes
blanches,
je
dérive,
je
fais
des
rêves
entre
tes
hanches
Sur
les
dunes
blanches,
je
vois
tes
seins,
je
les
dessine,
je
me
déhanche
Il
suffit
d′y
croire
et
l'on
peut
s′y
voir,
si
tu
savais
comme
je
flanche.
Sur
les
dunes
blanches,
le
lundi,
je
m'allonge
jusqu'au
dimanche.
Sur
les
dunes
blanches,
la
lumière
passe
Entre
nos
bras
comme
dans
des
branches.
Il
suffit
d′y
croire
et
l′on
peut
s'y
voir,
si
tu
savais
comme
je
flanche
Il
suffit
d′y
croire
et
l'on
peut
s′y
voir,
ma
vie
fait
la
planche.
Sur
les
dunes
blanches,
je
divague.
Les
ombres
dansent,
les
arbres
penchent.
Sur
les
dunes
blanches,
on
a
soif.
On
se
boit
et
on
s'étanche,
on
s′étanche.
Sur
les
dunes
blanches,
pas
de
regret,
pas
de
remords
et
sans
revanche
Il
suffit
d'y
croire
et
l'on
peut
s′y
voir,
si
tu
savais
comme
je
flanche.
Sur
les
dunes
blanches,
je
m′envole
sur
ta
peau
folle
puis
je
m'épanche
Sur
les
dunes
blanches,
on
se
tient
par
la
taille,
par
la
manche.
Il
suffit
d′y
croire
et
l'on
peut
s′y
voir,
si
tu
savais
comme
je
flanche
Il
suffit
d'y
croire
et
l′on
peut
s'y
voir,
ma
vie
fait
la
planche.
Sur
les
dunes
blanches,
on
se
tient
par
la
taille,
par
la
manche.
Sur
les
dunes
blanches,
on
se
couche,
on
se
cache,
on
s'avalanche.
Sur
les
dunes
blanches,
entre
sable
et
ciel,
c′est
l′amour
qui
tranche
Sur
les
dunes
blanches,
on
se
touche
Tant
qu'on
s′attache,
on
se
déclenche.
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