paroles de chanson Les villes de solitude - Michel Sardou
Dans
les
villes
de
grande
solitude
Moi,
le
passant
bien
protégé
Par
2000
ans
de
servitude
Et
quelques
clous
sur
la
chaussée
Dans
les
villes
de
grande
solitude
De
nouvel
an
en
nouveaux
nés
Quand
j'ai
bu
plus
que
d'habitude
Me
vient
la
faim
d'un
carnassier
L'envie
d'éclater
une
banque
De
me
crucifier
le
caissier
D'emporter
tout
for
qui
me
manque
Et
de
disparaître
en
fumée
Mais
dans
les
villes
de
grande
solitude
Tous
les
héros
se
sont
pollués
Aux
cheminées
du
crépuscule
Et
leurs
torrents
se
sont
calmés
Alors
je
fonce
comme
une
bête
Sur
le
premier
sens
interdit
Aucun
feu
rouge
ne
m'arrête
Je
me
sens
bien
dans
ma
folie
J'ai
envie
de
violer
des
femmes
De
les
forcer
à
m'admirer
Envie
de
boire
toutes
leurs
larmes
Et
de
disparaître
en
fumée
Mais
dans
les
villes
de
grande
solitude
Quand
l'alcool
s'est
évaporé
Je
replonge
dans
la
multitude
Qui
défile
au
pas
cadencé
J'ai
peur
d'avoir
brisé
des
vitres
D'avoir
réveillé
les
voisins
Mais
je
suis
rassuré
très
vite
C'est
vrai
que
je
ne
casse
rien
C'est
vrai
que
je
ne
casse
rien
C'est
vrai
que
je
ne
casse
rien
Dans
les
villes
de
grande
solitude
Dans
les
villes
de
grande
solitude
C'est
vrai
C'est
vrai
que
je
ne
casse
rien
Dans
les
villes
Dans
les
villes
de
grande
solitude
C'est
vrai
que
je
ne
casse
rien
C'est
vrai
C'est
vrai
que
je
ne
casse
rien
Dans
les
villes
Dans
les
villes
de
grande
solitude
Dans
les
villes
de
grande
solitude
Attention! N'hésitez pas à laisser des commentaires.