paroles de chanson Rappelle-leur - NOR
On
voit
les
choses
en
gros,
exploite
c'que
nous
maîtrisons
Derrière
ces
quelques
mots
se
cacheront
vos
opinions
J'voulais
porter
la
couronne
quitte
à
bouffer
la
fève
Mais
l'horloge
tourne
comme
sur
la
poitrine
de
Flavor
Flav
Me
demande
plus
d'être
patient
dans
la
descente
On
vieillit
comme
tous
ces
magazines
dans
les
salles
d'attente
Quand
je
laisse
place
aux
remords,
c'est
dead
J'entendais
déjà
la
voix
de
mes
gosses
à
l'arrière
de
la
Mercedes
Je
ne
supporte
plus
la
moyenne,
j'veux
m'gaver
Quitte
à
blanchir
mon
oseille
dans
une
machine
à
laver
En
attendant,
j'fais
la
fête,
j'me
branle,
j'patine
C'est
dur
de
ne
pas
perdre
tête
dans
le
pays
de
la
guillotine
Yovo,
rappelle
leur
à
tous
qu'on
va
mourir
Moi
j'donnerais
tout
pour
un
sourire
Yovo,
rappelle
leur
à
tous
qu'on
va
mourir,
mourir,
mourir
Yovo,
rappelle
leur
à
tous
qu'on
va
mourir
Moi
j'donnerais
tout
pour
un
sourire
Yovo,
rappelle
leur
à
tous
qu'on
va
mourir,
mourir,
mourir
Yovo,
tu
te
préoccupes
plus
de
ton
tissage
que
du
CV
C'est
la
guerre
des
images
à
la
télé
Dans
la
détresse
faut
tendre
l'oreille,
écoute
c'que
la
vie
te
chuchote
Quand
j'suis
en
manque
de
tendresse,
j'passe
me
prendre
des
capotes
Parfois,
j'parle
avec
mon
cœur,
parfois
j'l'entends
plus
battre
Quand
t'as
perdu
un
frère,
une
sœur,
comment
tomber
plus
bas?
Faut
paraître
busy
pour
rester
dans
c'game
Alors
on
s'dit
qu'on
a
des
choses
à
faire
même
quand
on
s'emmerde
Sous
les
lampadaires
on
brille,
refait
le
monde
après
quelques
taffs
Dans
un
coin
noir,
j'écris
la
vie,
chante
la
rue
comme
Edith
Piaf
À
la
routine,
on
s'habitue,
on
a
tous
les
mêmes
attitudes
Laisse,
laisse,
ces
baltringues
ne
connaissent
même
pas
le
quart
de
ton
vécu
On
s'parle
mieux
entre
quatre
yeux,
réfléchis
plus
entre
quatre
murs
Quoi
qui
se
dise,
quoi
qu'il
se
passe,
on
finira
entre
quatre
planches
Depuis
qu'le
ciel
est
violet,
ton
amour
est
étrange
J'roule
en
cabriolet
pour
qu'tu
puisses
voir
à
quoi
je
pense
Une
mélodie,
une
simple
odeur
peut
changer
des
sentiments
Pour
une
dame
de
cœur,
on
pleure,
met
tapis
les
mains
pleines
de
ciment
On
ne
compte
même
plus
les
heures
à
survivre
dans
ce
monde
trop
complexe
On
sait
qu'on
lira
pas
mieux
l'heure
sur
les
aiguilles
d'une
Rolex
Assis
sur
nos
cercueils,
pour
creuser
faut
s'assurer
Rares
sont
ceux
qui
savent
c'qu'ils
veulent
donc
faut
les
rassurer
On
planifie
l'avenir
sans
même
savoir
si
ça
va
durer
Des
martyrs
prêts
à
s'immoler
pendant
qu'on
rêve
tous
de
briller
J'entends
la
détresse
de
chaque
ville
dans
la
minute
de
silence
Ressens
la
tristesse
qui
s'invite
comme
tous
les
dimanches
Pose
surtout
pas
trop
de
questions,
tu
parais
suspect
Sans
talent,
tu
veux
faire
du
son?
Apprends
à
sucer!
Le
fruit
pourri
d'une
époque
peut
gâter
toute
une
récolte
Flirte
avec
le
Glock
sur
le
boulevard
de
la
fraude
Pour
avancer
faut
l'essence,
on
ne
compte
pas
sur
la
chance
C'est
nos
vies
que
l'on
dépense
comme
un
tas
de
billets
Tâches
de
sang
sur
le
tablier,
génération
oubliée
La
faucheuse
tourne
en
GP,
les
bandeuses
tournent
tout
l'été
Les
yeux
ils
veulent
nous
jeter,
les
anciens
sont
plus
c'qu'ils
étaient...
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