Sexion d'Assaut - Traqué paroles de chanson

paroles de chanson Traqué - Sexion d'Assaut



Maska
Ici, j'étouffe comme l'asthmatique qui est allergique à l'oxygène
Ils m'empêchent de parler, faut bien qu'j'expire les mots qui gênent
Et vu les portes qui s'ferment, tu restes qué-blo dans l'profit d'herbe
L'herbe s'enflamme assez vite, s'éteint qu'avec une grosse citerne, merde
Si t'as une mère, évite que ta tête goute la terre ferme
Même si t'as pas une thune, t'as saisi, t'as tout à perdre frère
Toute la presse nous coule, souvent ça coûte la tête certes
Tant que j'leur vends pas mon corps, j'm'en bats les couilles de tout ça
Mec, j'reste fier, pour ça qu'j'm'exerce, est-ce pour ça qu'j'excelle?
T'es responsable d'être vierge, est-ce qu'on va? J'laisse faire
Maska, ressaisis-toi, tu gagnes ce combat, c'est clair
Ils sont grands parce que t'es à genoux, lève-toi, ils tomberont par terre
Beaucoup de contestataires dans l'fond ne sont bons qu'à s'taire
En fait, on est comme des moutons aveuglés donc on la ferme
Les porcs font des guerres intellectuelles, j'suis du-per
Dans des débats, des arguments qui justifient l'adultère
J'bougerais bien pour prendre le large
Mais quiconque retourne sa veste, trahit son gang de base (debout)
Tous rêvent qu'on crève bande de lâches
J'serais pas tant tenace si un jour la chance me lâche (debout)
J'bougerais bien pour prendre le large
Mais quiconque retourne sa veste, trahit son gang de base (debout)
Tous rêvent qu'on crève bande de lâches
J'serais pas tant tenace si un jour la chance me lâche (debout)
Ceux qui vendent la cess, volent le sourire de ceux qui la prennent
Stressent pour pouvoir obtenir ce qui les apaise
Pour ceux qui attestent qu'on sent la mort comme la peste
J'suis blanc et tu m'détestes, j'suis comme les murs de ta tess
J'ai grave envie d'bédave, pourquoi mon corps réclame sa mort?
J'suis connu, mais j'prends l'métro, j'm'en bats les couilles, j'ai pas d'gamos
On a fait l'son, désolé car on sait bien qu'nos sons t'amochent
T'as trop parlé donc pour cracher, tu dois racler le fond d'ta gorge
Pour que tu t'taises faut qu'on t'égorge, impulsifs donc on déborde
On est des potes qui baisent le biz, tout en étant désordonnés
Tranquille dans l'ventre de ma mère et dès qu'j'suis ti-sor
J'ai constaté qu'ces cons d'adultes étaient en quête de discorde
Bêtes on s'dit forts, hop un moustique nous rend faibles
Un président xénophobe, c'est comme un fou qui t'enseigne
On n'a pas percé trop tôt y a tous mes bougs qui gambergent
Y a des groupies qui m'encerclent, mais faut pas qu'j'oublie l'Enfer
On n'est jamais solides tant qu'on dépend d'un bout d'papier
On est pour qu'les gardiens d'la paix décident enfin d'nous fout' la paix
La rue a déteint sur nous tous, pourtant j'suis l'seul à être blanc
J'ai peut-être vé-squi ses coups d'crasse, est-ce que ma gueule est étanche?
Elle t'hypnotise, (tu la guettes, elle te tente)
Tu finis bédo tise, (tes potes te trouvent inquiétant)
Y a personne qui cotise, (quand t'es mort, pour ta tombe)
Tu dois déjà beaucoup d'biff, (même si t'es dead, ça compte)
J'bougerais bien pour prendre le large
Mais quiconque retourne sa veste, trahit son gang de base (debout)
Tous rêvent qu'on crève bande de lâches
J'serais pas tant tenace si un jour la chance me lâche (debout)
J'bougerais bien pour prendre le large
Mais quiconque retourne sa veste, trahit son gang de base (debout)
Tous rêvent qu'on crève bande de lâches
J'serais pas tant tenace si un jour la chance me lâche (debout)
J'pouvais pas partir sans t'parler des keufs pourris
Donc celle-là c'est pour Arnold, donc celle-là c'est pour Larbi
Donc celle-là c'est pour byl-ka qui a bien sali les murs d'ma ville
Passe pas l'pouvoir à un seul homme, il en abusera toute sa vie
Akhi j'baigne dans la merde, il est temps d'nager
On passe notre temps à décrasser c'qu'ils essayent tant d'tâcher
Comme une pute qui vend sa chair, mais tente de s'en détacher
T'aimerais refaire ta vie, mais y a trop d'temps qui est passé
J'bougerais bien pour prendre le large
Mais quiconque retourne sa veste, trahit son gang de base (debout)
Tous rêvent qu'on crève bande de lâches
J'serais pas tant tenace si un jour la chance me lâche (debout)
J'bougerais bien pour prendre le large
Mais quiconque retourne sa veste, trahit son gang de base (debout)
Tous rêvent qu'on crève bande de lâches
J'serais pas tant tenace si un jour la chance me lâche (debout)



Writer(s): Oplinger John, Vincent Bastien Albert Maurice


Sexion d'Assaut - En attendant l'apogée - Les chroniques du 75
Album En attendant l'apogée - Les chroniques du 75
date de sortie
04-04-2011




Attention! N'hésitez pas à laisser des commentaires.