Stick - Psychoses paroles de chanson

paroles de chanson Psychoses - Stick



J′arrive plus à faire taire les voix qui sont dans ma tête, dommage
Dehors il fait orage et je suis coincé dans cette fête trop naze
C'est p′t-être l'occas de faire
Semblant d'écouter cette belle connasse
Tout en rêvant de la découper comme une bête sauvage
Un pet′ au casque depuis l′école primaire
Le soir je décole, oui mère je sais je déconne
J'ai des tonnes d′idées malsaines
Imbibés d'absinthe, pire qu′atroce même
Je suis le quatorzième invité de la Cène
J'ai vidé la teille, la vie est coule et si magique
Depuis que j′ai giclé ma peine dans le boul d'une hippie sidaïque
Étouffez-vous, sucez ma bite, je fais le coup du multisyllabique
Et tu le dis si ça pique ou si ça plait à un public si naïf
Qu'il s′imagine qu′il me suffirait d'un Juvamine pour aller bien
Allez viens, je t′emmène au paradis des galériens
Je te laisse tous ces rappeurs qui parlent de bitch, fuck
Moi je suis Hitchcock et tu vas crever sous la douche
Je suis le bébé que Rosemary
Accouche, que les autres traitaient de pédé
Réfugié dans des BD, élevé par un mec toujours pété
Putain paye ta putain d'enfance. "Tu veux qu′on en parle?"
Pas vraiment, à présent je préférerais qu'on m′empale
Ou qu'on m'empaille comme un animal de compagnie
Compte pas mi-dor dans un Campanil de campagne
On t′a dit que Norman était bon mais on te la mise
Toi: blonde platine en panique avec des pompes à mille dolls
T′es qu'une conne parmi d′autres, une p'tite chose fragile aïe
Et j′inhale tes mycoses vaginales
Je suis de ces mômes dont les psys causent en s'arrachant les veuchs
Tabassant des meufs dans mes psychoses
J′arrive plus à faire taire les voix qui sont dans ma tête, dommage
Dehors il fait orage et je suis coincé dans cette fête trop naze
C'est p't-être l′occas de faire
Semblant d′écouter cette belle connasse
Tout en rêvant de la découper comme une bête sauvage
Un pet' au casque passé trois heures du mat
Je sens la chaleur du jack s′emparer de mes entrailles
Les gens braillent et s'embrassent et s′entassent dans des piaules
Pour sniffer des traces et j'en passe, on est comme des
John Lennon sous champi, sous emprise, je vous en prie
Je tourne en ville sous temps gris souvent triste pourtant je ris
Tout le temps. Qui penserait que je pense à des meurtres?
Quand ça dégueule y a du sang dans mes feutres
Mais je coloris sans dépasser, tu te branles en pensant au passé
Ou face à l′inconnue avec la main endolori
Et tu nous parles de conneries, ton PEL et ton crédit
Et je te prédis une existence pathétique comme
La photo de ton gosse sur ton
Smartphone, la sale trogne de ta femme conne
Vos vacances à Narbonne on s'en cogne
On s'alcoolise et je t′imagine déjà en train d′agoniser
Oh oui j'ai déjà la gaule, horrifié
Obligé d′enfiler la perruque et la robe de chambre
Enfermé au sous-sol et les rats te dévorent les jambes
Pour voir si ta chair est tendre comme celle de ta chère et tendre
Et que le sang se répande jusqu'à ce que ton corps décharné tremble
Suis-je censé répondre à tes formules de politesse?
J′aime les gens quand les vers prolifèrent sur leur corps nus
Je suis de ces mômes dont les psys causent en s'arrachant les tifs
Tabassant des types dans mes psychoses
Arrête de t′emporter, essaie d'être normal Jeff
Au lieu de te comporter à la Norman Bates
Arrête de t'emporter, essaie d′être normal Jeff
Au lieu de te comporter à la Norman Bates
À la Norman Bates
À la Norman Bates



Writer(s): Stick, Zenghi


Stick - Glossolalie
Album Glossolalie
date de sortie
19-01-2018




Attention! N'hésitez pas à laisser des commentaires.