Текст песни Été - IAM , Elodie Rama
L'été
marque
ces
rues
de
ses
éclats,
de
ses
sourires
Des
moments
d'grâce,
même
si
pour
le
travail
on
doit
courir
J'aime
trop
cette
vie,
c'bordel
où
les
gens
s'croisent
Apprécient
le
temps
Ils
savent
que
dès
qu'on
nait
on
commence
à
mourir
Une
vie
parmi
les
gens
tordus,
les
gens
biens
Les
gens
honnêtes
qui
marchent
au
jour
le
jour
Sans
plan
dément
sur
la
comète
Demain
c'est
loin,
le
sort
fait
tourner
son
aiguille
Ils
jouent
d'nos
plan
tout
comme
Dieu
Qu'a
mis
cette
couleur
sur
les
pommettes
Au
quotidien
la
rue
chante
sa
mélo
Cette
violence,
ces
joies,
ces
peines
et
ces
mélodrames
Comme
ces
gamins
de
douze
ans
armés
qu'on
a
croisés
Mec,
j'ai
eu
l'impression
de
voir
la
mort
à
l'œuvre
sur
un
vélo
Voici
l'décor
d'nos
adolescences
où
aucun
menteur
met
les
pieds
S'contente
de
palucher
toutes
ses
connaissances
Aucun
besoin
d'eux,
aucun
besoin
d'leur
discours
intéressé
Ici
on
nait,
on
vit,
on
meurt,
sans
y
penser
comme
une
évidence
La
lune
vient
de
se
coucher,
la
rue
commence
à
s'agiter
Le
soleil
s'éveille
doucement,
doucement
Et
sa
main
s'abbat
sur
les
passants
Le
goudron
crache
sa
fumée,
les
murs
commencent
à
s'étouffer
La
chaleur
s'étale
lourdement,
lourdement
Et
sa
main
s'abbat
sur
les
passants
Round
and
round
inside
my
head
These
memories
of
golden
years
It's
all
that
I
got
in
the
end
Won't
let
the
story
fade
away
People
grow,
people
change
I
wish
that
I
could
stay
the
same
These
laughters
and
tears
in
my
eyes
We'll
live
forever
in
my
mind
Des
passants
foncent
dans
le
goudron
À
peine
10h
c'est
la
fournaise
Ça
fume
déjà
sur
les
balcons
Le
sol
est
chaud
comme
de
la
braise
Tous
les
gamins
ont
une
casquette
T-shirt,
caleçon,
claquettes
Le
mec
sirote
une
16
à
l'ombre
Le
cul
posé
sur
les
cagettes
Des
gens
pressés
en
stress,
le
bus
arrive,
merde
Le
livreur
en
sueur
qui
s'énerve
Parce
qu'il
trouve
pas
l'adresse
Une
fille
qui
joue
au
ballon
Un
homme
qui
pousse
un
caddie
On
dirait
qu'c'est
lourd
comme
le
plomb
Mais
ce
plomb-là
c'est
sa
vie
Devant
la
ligne,
ça
s'frotte
les
mains
Encore
une
belle
journée
Ça
bouge
au
bar
tous
les
quarts
d'heure
Quelqu'un
remet
sa
tournée
Les
gouttes
commencent
à
couler
Les
flics
commencent
à
tourner
Dans
toute
la
rue
on
peut
sentir
Venir
la
dernière
fournée
Des
gens
venus
de
partout
Surement
de
sacrés
parcours
Rien
que
pour
ça,
respecte-les
Tu
connais
pas
leurs
détours
Et
sous
l'soleil
déchainé
La
vie
repart
pour
un
tour
Jusqu'à
ce
qu'à
nouveau
Le
croissant
revienne
clamer
son
amour
La
lune
vient
de
se
coucher,
la
rue
commence
à
s'agiter
Le
soleil
s'éveille
doucement,
doucement
Et
sa
main
s'abbat
sur
les
passants
Le
goudron
crache
sa
fumée,
les
murs
commencent
à
s'étouffer
La
chaleur
s'étale
lourdement,
lourdement
Et
sa
main
s'abbat
sur
les
passants
Yeah,
yeah-yeah-yeah
Yeah,
yeah-yeah-yeah
Yeah,
yeah-yeah-yeah
Yeah,
yeah-yeah-yeah
Yeah,
yeah-yeah-yeah
Yeah,
yeah-yeah-yeah
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