Текст песни Epilogue - Orelsan
Ma
vie,
c'est
de
trouver
les
mots
justes
Ma
vie,
c'est
de
trouver
les
soluces
J'essaie
d'activer
les
bonus
La
famille,
les
amis
m'propulsent
J'sais
que
j'arrive
à
rester
focus
car,
derrière,
l'équipe
est
robuste
J'donnerai
jusqu'au
dernier
globule
Ma
vie,
c'est
d'trouver
des
formules
Remonte
le
temps,
retour
à
la
base
Les
cours,
les
vacances
à
Palavas
Auto-persuadé
d'avoir
la
poisse
J'écris
des
textes
où
j'trouve
pas
ma
place
J'suis
né
au
même
endroit
qu'Balavoine
Adolescent
naïf,
maladroit
Arrogant
et
timide
à
la
fois,
paroles
hardcore
comme
une
carapace
Fast-forward
deux
fois
dix
ans,
dimanche
soir,
deuxième
nuit
blanche
J'écris
comme
une
sorte
de
vidange
juste
avant
d'embrasser
l'silence
J'veux
plus
jamais
nier
les
évidences
Je
sais
qu'il
va
falloir
prendre
mes
distances
Je
sais
que
si
tu
tires
sur
les
ambulances
Faudra
t'emmener
tout
seul
aux
urgences
J'ai
fait
des
erreurs
et
j'en
ferai
d'autres,
Mais
j'veux
plus
jamais
faire
semblant
d'être
amnésique
Quand
tout
l'monde
te
prend
pour
un
connard
Et
t'es
l'seul
à
qui
personne
l'avait
jamais
dit
J'suis
la
solitude
des
lendemains
d'fête
Après
chaque
concert,
à
chaque
fois
qu'la
salle
est
vide
J'aimerais
dire
à
mon
pote
qu'on
s'remet
mieux
d'une
rupture
que
d'une
rupture
d'anévrisme
La
vie
passe
en
un
clin
d'œil,
j'veux
plus
battre
des
cils,
passer
des
paquets
d'billes
Aux
sachets
d'weed,
j'ai
grandi
sur
du
métal
et
du
R&B
Avec
les
films
des
frères
Farrelly
J'en
ai
marre
de
chanter
la
déprime
Déso
les
enfants
du
marketing
Chef
d'entreprise,
j'rapperai
pas
des
chiffres
J'ai
commencé
sur
des
break
beats
Quand
j'rêvais
d'une
prod'
de
Mehdi
J'suis
pressé,
l'passé
resurgit,
j'vais
dire
trainspotting
Begbie
J'ai
bu
des
litres,
j'ai
vomi
des
litres,
auto-détruit,
j'veux
m'auto-guérir
Sangoku,
j'veux
rallier
mes
ennemis
;
devant
l'ordi'
jusqu'à
l'épilepsie
Pas
besoin
de
m'dire
merci
Je
suis
l'premier
que
ça
divertit
J'pensais
jamais
m'investir
jusqu'à
c'que
j'rencontre
une
fille
En
soirée
que
j'voulais
revoir
le
jour
d'après
Et
l'jour
d'après,
et
tous
les
jours
d'après
C'est
la
deuxième
fois
qu'une
femme
me
porte
Je
renais,
j'ai
trouvé
une
deuxième
force
Nouveau
jour,
nouvelle
ère,
nouvel
ordre,
Je
fabriquerai
pas
des
nouveaux
remords
Ça
y
est,
j'ai
fait
l'deuil
d'une
époque,
Je
sais
que
des
fois
vaut
mieux
changer
d'décor
Je
sais
qu'on
peut
s'voir
moins
et
rester
potes
Je
sais
que
ça
demande
juste
un
peu
plus
d'efforts
Ça
fait
bizarre
de
voir
les
gens
changer
quand
tu
les
as
vus
grandir
Mais
j'vais
plus
m'inquiéter
pour
les
choses
Sur
lesquelles
je
sais
que
j'aurai
jamais
d'emprise
J'sais
que
j'dois
pardonner,
sinon
la
rancune
continuera
sa
hantise
Que
c'est
difficile
de
trouver
la
limite
Entre
casser
les
couilles
et
la
franchise
J'devrais
déjà
être
papa
si
j'étais
pas
naze
les
rares
soirs
où
j'taffe
pas
C'est
l'heure
de
quitter
Paname
Choisir
qui
sera
là
l'soir
de
mon
mariage
J'veux
plus
calculer,
j'déteste
les
maths
Les
discours
changent
avec
qui
tu
parles
J'sais
qu'on
sous-estime
l'emprise
du
mal
qu'les
fabricants
d'armes
méritent
une
balle
J'me
méfie
d'la
bonté
des
psychopathes
De
rentrer
chez
moi,
voir
des
gyrophares
J'veux
plus
jouer
mon
avenir
à
pile
ou
face
Avec
le
feu
ou
les
pyromanes
J'crois
plus
aux
discours
des
mecs
bavards
Aux
résolutions
sous
l'pied
d'un
arbre
Mes
réseaux
n'affichent
pas
mes
états
d'âme
;
des
hauts
et
des
bas
mais
j'ferai
d'l'escalade
J'fais
des
montagnes
de
trucs
anecdotiques
J'connais
la
dépression
qui
frappe
les
comiques
Marre
d'être
celui
qu'esquive
les
discussions
Sérieuses
en
sortant
des
trucs
à
moitié
gole-ri
J'ai
plus
l'angoisse
d'être
en
panne,
j'sais
qu'la
vie
m'mettra
des
grandes
claques
J'utilise
trop
d'inspi'
et
l'temps
passe,
Des
fantasmes
resteront
des
fantasmes
J'veux
laisser
une
trace,
laisser
une
marque,
Que
tu
puisses
porter
mes
t-shirts
fièrement
Qu'on
m'prenne
dans
les
bras
aux
enterrements,
Savoir
pleurer,
dire
: Je
t'aime
tellement
Plus
voir
l'amour
comme
une
sorte
de
légende,
j'veux
apprendre
à
profiter
du
présent
J'ai
les
réponses
qu'on
trouve
pas
dans
Google
Parler
aux
aveugles,
décrire
les
couleurs
J'aime
faire
des
tubes,
la
mélancolie
robotique
d’auto-tune
Ablaye
et
Skread,
7th
Magnitude
Toujours
là
comme
une
mauvaise
habitude
Sept
heures,
j'enregistre
seul
à
l'hôtel,
seul
au
mini
stud'
Sept
heures
du
mat'
J'dois
rendre
l'épilogue
dans
sept
heures
Y
a
d'fortes
chances
que
l'son
soit
jamais
mixé
D'ailleurs,
y'a
d'fortes
chances
qu'il
ait
jamais
existé
Tout
c'que
j'sais
Certains
sont
forts
pour
combler
mes
failles
D'autres
savent
bien
comment
on
les
exploite
Certaines
relations
sont
néfastes
Parfois,
les
chemins
s'séparent
Mais
les
erreurs
se
réparent,
Et
la
ligne
d'arrivée
est
souvent
la
ligne
de
départ
1 Zone
2 Mes grands-parents
3 La famille, la famille
4 Dis-moi
5 Paradis
6 Discipline
7 Rêves bizarres
8 Bonne meuf
9 Défaite de famille
10 Tout va bien (Remix)
11 Epilogue
12 Excuses ou mensonges
13 Adieu les filles
14 Tout ce que je sais
15 Fantômes
16 Notes pour trop tard
17 La pluie
18 Dans ma ville, on traîne
19 Christophe
20 La fête est finie
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