Текст песни Amy - Pascal Obispo

Amy, mon Amy bel ange
Aujourd'hui ta vie chavire
Vers des profondeurs étrangères
Oh, l'amour ne veut plus vieillir
Tendre Amy, tu n'jure plus de rien
Sous ce ciel perdue parmi les chiens
Vingt sept printemps, à quoi ça tient
Sur terre plus rien qui vaille la peine
D'être vaincu contre nature
À laisser tomber son destin
Et son incontrôlable
Démesure
Amy, mon Amy diva
Ce désespoir que tu combats
Pour ne plus voir en peinture
Chaos d'abus et tas d'ordures
Je t'écris, je me mets à nu
Même si pour toi tout est foutu
Dans ta douleur chérie lune
D'un mal qui ronge vers l'inconnu
Aucun fantôme n'en est revenu
Malheureuse à la folie, éperdue
Le monde entier l'aura
Bien retenu
Amy, tu sais va la vie
(Pa-la-pa-pa-pa-la-pa)
(Pa-la-pa-pa-la-pa)
C'est pas les cris
Je préfère
(Pa-la-pa-pa-pa-la-pa)
Qu'on y reste encore encore et oui
(Pa-la-pa-pa-la-pa)
(Pa-la-pa-pa-pa-la-pa)
On choisit pas d'y être
(Pa-la-pa-pa-la-pa)
Baby on dit faut s'y faire
(Pa-la-pa-pa-pa-la-pa)
Et qu'il en soit ainsi
Amy, mon Amy belle astre
Tu n'sais plus le vers ni l'endroit
Où ton spleen se mue en désastre
L'alcool, tes shoots sentent le formol
T'as perdu l'goût, l'origine de ta soul
Son blues saigne sous les seringues
Au vitriol
La ciguë injectée ça flingue
Il finissent toujours en épingle
En couac
Ces voyages dont on dit
Qu'ils sont paradisiaques
Amy, tu sais va la vie
(Pa-la-pa-pa-pa-la-pa)
(Pa-la-pa-pa-la-pa)
C'est pas les cris
Je préfère
(Pa-la-pa-pa-pa-la-pa)
Qu'on y reste encore encore et oui
(Pa-la-pa-pa-la-pa)
(Pa-la-pa-pa-pa-la-pa)
On choisit pas d'y être
(Pa-la-pa-pa-la-pa)
Baby on dit faut s'y faire
(Pa-la-pa-pa-pa-la-pa)
Et qu'il en soit ainsi
Amy, mon Amy ma sœur
Je t'aimais avec ton petit cœur
Déchiré, depuis tu t'es rendue
Rejoindre d'autres amis qu'on a perdu
Tellement d'autres voix se sont tues
Au même age que toi, c'est tordu
Et qu'on entendra plus jamais
Jamais plus
Tellement d'autres voix se sont tues
Au même age que toi, c'est tordu
Et qu'on entendra plus jamais
Jamais plus
Oui, tellement d'autres voix se sont tues