Текст песни Trac - Primero

Mon cœur bat de plus en plus fort
Mon cœur bat de plus en plus fort
Mon cœur bat de plus en plus fort
Mon cœur bat de plus en plus fort
Mon cœur bat de plus en plus fort
Mon cœur bat de plus en plus fort
Mon cœur bat de plus en plus fort
Mon cœur bat de plus en plus fort
Derrière mes yeux c'est la tempête
Moi qui pensais que rien ne pourrait m'envahir
Fallait que j'approche de la trentaine
Pour voir qu'un mental en béton ça s'entraîne
Je suis issu d'une famille catholique
Où personne ne dit les grâces avant le dîner
Les sermons à chaque fin du mois
M'ont appris à couper les interrupteurs et les robinets
Ici, pour faire taire les idées pas nettes
Certains préfèrent un antidote en canette
On ne fait plus trop confiance aux médecins
Depuis le décès du frangin de Janet
D'autres s'en remettent à dieu
Mais croire qu'il arrangera tout c'est mal le connaître
Y'a du monde qui m'attend sur l'avant de scène
C'est pas le moment de perdre les manettes
Et si je reste le nez en l'air en laissant
Tous les projecteurs me cramer les iris
C'est que quand j'ai les yeux brûlés
Il n'y a plus que le bruit des gens dans la salle qui me dirige
J'ai besoin de ça pour me sentir aussi léger
Qu'après 10 cachets d'aspirine
Parfois j'aimerais que mon cerveau ne serve
Qu'à demander conseil à Siri
Plus la peine de s'alarmer
Tant que mes chansons m'assurent 4 chiffres de salaire net
C'est qu'il me manque plus que le bonheur et
Vu que les hommes l'ont juste sous leur nez
Je devrais pas tarder à tomber sur le remède
J'ai le même trac qu'au premier concert
Mais je recommence tous les soirs
Même si le docteur le déconseille
Mon cœur bat de plus en plus fort
Mon cœur bat de plus en plus fort
Mon cœur bat de plus en plus fort
Mon cœur bat de plus en plus fort
Mon cœur bat de plus en plus fort
Mon cœur bat de plus en plus fort
Mon cœur bat de plus en plus fort
Mon cœur bat de plus en plus fort
Les coups de pied au cul ça fait vite mal
Mais ça pourrait faire doubler mon palmarès
Lundi matin tout le monde ressemble Hitman
Vendredi soir tout le monde ressemble à Polnareff
C'est le soleil qui dicte le rythme
Mais moi j'écris mieux quand le monde est à l'arrêt
Je sors faire de l'argent puis j'oublie d'en profiter
Comme si cette vie n'était pas la vraie
Mon métier c'est faire semblant de parler des autres
Pour parler de moi-même
Un jour la joie, un jour les soucis
Ça dépend dans quel sens sont mes sourcils
J'ai appris à quitter la fête
Avant que mes anges gardiens ne me ramènent
C'est mauvais pour moi de faire la course
Quand les barrières ressemblent à des raccourcis
Plus la peine de s'alarmer
Tant que mes chansons m'assurent 4 chiffres de salaire net
C'est qu'il me manque plus que le bonheur
Et vu que les hommes l'ont juste sous leur nez
J'devrais pas tarder à tomber sur le remède
J'ai le même trac qu'au premier concert
Mais je recommence tous les soirs
Même si le docteur le déconseille