Текст песни Entrailles - Don Choa
Dans
cette
vie
Malheur
à
celui
qui
l'oublie
Pardon
ma
mère
pour
la
peine
et
les
soucis
Ce
qui
nous
détruit
pas
doit
nous
endurcir
D'où
l'on
vient
dans
cette
vie
Y
a
pas
de
pitié
pour
celui
qui
supplie
Mauvais
système
mais
on
s'y
plie
Ici
bas
on
est
que
des
morts
en
sursit
J'me
rappelle
de
ce
qui
m'a
fait
mal
Ca
me
laisse
un
sale
arrière
goût
Faudrait
garder
que
les
bons
souvenirs
J'me
rappelle
trop
ça
me
rend
fou
J'me
rappelle
qu'y
a
rien
à
y
faire
Mais
quand
même
ça
me
ronge
On
a
chacun
ce
qu'on
regrette
Ses
remords,
sa
fierté,
sa
honte
Sans
pudeur
au
mic
J'veux
une
revanche
comme
Mike
Rouge
de
rage
quand
je
braille
Rappelle-toi
qu'on
sort
des
Entrailles
Sanglantes
de
la
femme
tremblante
Sèche
tes
larmes,
entre
dans
ce
monde
Et
écoute
ceux
qui
se
lamentent
Ca
me
rappelle
un
truc
Fallait
que
j'aie
un
but
y
a
pas
de
remèdes
La
vie
va
te
décevoir
Si
tu
fais
qu'attendre
un
peu
d'aide
J'me
rappelle
d'où
on
est
parti
Et
qui
faut
niquer
le
benef'
Va
fouiller
le
fond
de
tes
archives
Mon
groupe
c'est
la
F.F
Maintenant
qu'on
a
fait
des
disques
Tu
te
rappelles
de
moi
Je
me
rappelle
et
toi
t'idéalises
quoi!
Tu
te
rappelles
pas?
J'me
rappelle
quand
on
m'a
trahi,
rejeté,
détesté,
haï
J'me
rappelle
que
je
me
sens
naïf
Et
que
l'espoir
doit
rejaillir
J'me
rappelle
ce
que
c'est
de
perdre
des
êtres
chers
de
sa
famille
J'me
rappelle
quand
on
parlait
sur
un
banc
J'me
rappelle
mes
amis
Ceux
qu'on
a,
ceux
qu'on
a
perdu
Des
visages
dans
ma
tête
dure
Ici
bas
ça
sent
le
pourri
Envoyez-moi
un
peu
d'air
pur
Trouver
la
verdure
dans
des
feuilles
à
rouler
Goûte
à
l'amertume
depuis
que
la
première
larme
de
mon
oeil
a
coulé
Tu
sais
qu'ils
se
foutent
de
savoir
si
ce
monde
nous
convient
Lâche
rien,
on
se
souvient
d'où
on
vient
Dans
cette
vie
Malheur
à
celui
qui
l'oublie
Pardon
ma
mère
pour
la
peine
et
les
soucis
Ce
qui
nous
détruit
pas
doit
nous
endurcire
D'où
l'on
vient
dans
cette
vie
Y
a
pas
pitié
pour
celui
qui
supplie
Mauvais
système
mais
on
s'y
plie
Ici
bas
on
est
que
des
morts
en
sursit
J'ai
des
séquelles
dans
la
mémoire
Des
squelettes
dans
l'armoire
Alors
je
jette
une
belette
dans
la
baignoire
Une
allumette
dans
le
réservoir
J'aurais
beau
courir
Mon
passé
me
suit
comme
mon
ombre
Vous
voudriez
que
je
me
suicide
comme
mon
oncle
Lutte
jusqu'à
ce
que
tout
soit
fini
Et
donne
le
compte,
on
monte
le
score
Hausse
le
ton,
cogne
fort,
et
monte
le
son
Quand
j'arrivais
ils
disaient
Hum,
hum
non,
non,
non
Et
aujourd'hui
écoute-moi
rire
Ahh
ahh
ahh
ahh
ahh
Je
remercie
et
prie
à
chaque
instant
avec
insistance
Laisse-moi
cracher
sur
les
hautes
instances
devant
l'assistance
J'ai
pas
la
prétention
de
dire
ce
que
nous
devons
faire
Laisse-moi
exprimer
ma
joie
avec
ceux
qui
me
sont
chers
Tout
serait
différent
si
on
était
moins
paresseux
mon
frère
Si
on
s'entraidait
au
lieu
du
contraire
Les
dirigeants
oublient
le
temps
où
ils
pleuraient
pour
qu'on
leur
Change
leur
couches
S'ils
s'en
rappelaient,
ils
auraient
plus
d'humanité
pour
ceux
qui
Souffrent
Ceux
qui
se
sentent
prisonniers,
enfermés
même
au
dehors
Assis
au
bord
de
la
fenêtre
en
rêvant
d'un
autre
décor
Rappelle-toi
que
ceux
en
fauteuil
roulant
nous
voient
courir
Rappelle-toi
de
ces
parents
qui
voient
leurs
enfants
mourir
Ici-bas,
abomination,
meurtres,
viols,
inceste
Un
royaume
attend
ses
princes
et
ses
princesses
Ils
se
foutent
de
savoir
si
ce
monde
nous
convient
Lâche
rien,
on
se
souvient
d'où
on
vient
Dans
cette
vie
Malheur
à
celui
qui
l'oublie
Pardon
ma
mère
pour
la
peine
et
les
soucis
Ce
qui
nous
détruit
pas
doit
nous
endurcir
D'où
on
vient
dans
cette
vie
Y
a
pas
de
pitié
pour
celui
qui
supplie
Mauvais
système
mais
on
s'y
plie
Ici
bas
on
est
que
des
morts
en
sursit...
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